Face à Nîmes, ce vendredi 21 février en soirée, il faudra vite remettre le bleu de chauffe pour des Toulousains qui, mardi dernier, ont été à créditer d’une performance majuscule chez les Allemands de Flensburg en coupe d’Europe. Coup d’envoi, de cette dix-septième journée de StarLigue, au Palais des sports : 20 heures.
Après leur (très) grosse performance mardi en Allemagne où les Toulousains ont partagé les points sur le terrain de Flensburg (34-34), tenant de la Ligue européenne qui n’avait pas encore cédé un seul point cette saison sur la scène européenne !, il est l’heure de redescendre sur terre et de vite se remettre dans le bain de l’exigeante Starligue. Ainsi va le mois de février pour les clubs en lice sur les compétitions européennes qui enchaînent les matchs tous les trois ou quatre jours.
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“Ce n’est pas plus mal, nous n’avons pas ainsi le temps de cogiter”, estime Danijel Andjelkovic, le coach du Fenix, qui a vite refermé l’ouvrage de la Ligue européenne pour rouvrir celui de la Starligue, conscient du risque pour ses troupes d’être encore la tête à l’exploit de mardi. “C’est vrai que se replonger dans le championnat peut sembler compliqué d’autant qu’il y a quantité de satisfactions après ce match, que ce soit dans le jeu, au niveau du résultat. On peut s’endormir”, redoute le technicien du Fenix.
“Mais je pense que nous avons acquis de l’expérience ces dernières saisons. Et puis le haut niveau, ce n’est pas de faire une performance un jour et rien derrière. Non, le haut niveau, c’est la répétition des performances”, insiste Danijel Andjelkovic qui se prépare à une rencontre compliquée face aux Nîmois.
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Si le match retour face à Flensburg, mardi prochain, qui pourrait ouvrir de formidables perspectives au Fenix (une qualification directe pour les quarts de finale par exemple), est forcément dans un coin des têtes toulousaines, il faut d’abord défendre ses positions en Starligue et cette 4e place de laquelle Saint-Raphaël s’est rapproché à une longueur depuis la semaine dernière et la défaite des Toulousains à Aix. Face à Nîmes et sa défense physique, accrocheuse, “il faudra se montrer intelligents pour s’en sortir”, prévient Andjelkovic.
